Après un gros dodo et un début de samedi sous le signe de la flemme, il est temps d’entamer la seconde et dernière soirée du festival Carnavalorock.

Retrouvailles entre aficionados de rock devant The Decline ! Leur temps de passage est beaucoup trop court mais le groupe profite de chaque minute et le public est très réceptif. Avec des titres comme A Smiling Beast, A Crying Angel on a juste une seule envie, c’est de renouveler un concert des The Decline !

Rapidement, James Leg se met en place, armé de seulement son clavier et accompagné d’un batteur. James Leg, j’aurais pu le voir bien avant lors du Binic Folks Blues Festival qui se situe non loin de là chaque été, mais trop occupée au merchandising du festival, je zappe souvent les concerts qui y passent (oui, il fallait que je place le BFBF dans Désinvolt !). Un son assez brut, de la batterie juste comme il faut, un artiste qui se sent un peu comme à la maison, que demander de plus ?

Comme pour se reposer un peu, Debout sur le zinc arrive avec leurs textes aux histoires simples et un son bien loin de la programmation assez punk-rock de ces deux jours. N’empêche qu’on apprécie les sonorités plus douces et cela reste une belle ouverture d’esprit de faire jouer des groupes de cette trempe-là.

Surtout quand on sait que c’est Ultra Vomit qui officie pour ce milieu de soirée. Du bon métal, des textes décalés, humoristiques et toujours avec le sourire. On se fend la poire pendant tout le set, n’est ce pas Saint BrieuKE ?

Bon… J’dois dire qu’une « pause » niveau son s’imposait à moi, pendant que les Hilight Tribe, même si leur passage a semble-t-il plu à beaucoup.

Et puis… Difficile de faire un festival à la sauce punk-rock en Bretagne sans programmer au moins une fois Les Ramoneurs de Menhirs, ici accompagné du Bagad de Quimperlé (Bagad Bro Kemperle pour les bretonnants qui nous lisent). Loran est égal à lui-même, la même soif de liberté et de fédérer le public pour un monde plus juste. Concert ultra rapide, calibré, pas de surplus, ni beaucoup de titres des Béruriers Noirs. C’est sur cette note celtique que la 20e édition de Carnavolorock s’achève.

Bilan de ces deux jours ? Une programmation du tonnerre, un public respectueux les uns des autres, un accueil des plus agréable. Et puis Carnavalorock c’est un peu une certaine histoire de Saint-Brieuc. C’est le Wagon (comme je ne suis pas la mieux placée pour vous raconter le Wagon je vous laisse fouiner sur Youtube, il y a un reportage qui vous éclairera sur ces années) et tous ces gens à crête que j’ai croisé toute petite.

En espérant vivement une nouvelle édition l’an prochain, je vous laisse quelques photos souvenirs du renouveau de Carnavalorock !

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