Le premier label participatif français met la clef sous la porte suite à une longue procédure de justice entamée il y 3 mois.
Alors que la machine internet semblait bien fonctionner, c’est du côté des ventes dans le commerce même, que la machine tournerait mal.
Et c’est Nicolas Claramond, cofondateur de Spidart qui a annoncé la nouvelle dans un communiqué publié sur le site.

Grosse déception pour les fans et les internautes qui ont investi financièrement dans Spidart mais aussi pour les artistes eux-mêmes qui ne verront pas leur propre projet aboutir. Un coup dur à encaisser.
Que peut-on espérer alors des autres sites basés sur le même modèle et de ce système en général ?
Un élement de réponse sur le blog de Bidibule : Label participatifs: le modèle montre-t-il ses limites ?